Cloud

Tracez votre trajectoire cloud avec la démarche AMR d’IBM Services

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IBM GBS France vous accompagne vers le cloud avec l’AMR (Application Modernization Roadmap). Une prestation qui vous offrira une vue complète sur votre parc applicatif, les moyens de le moderniser et le planning de migration recommandé.

 

Une des grandes problématiques des DSI est d’avoir à conjuguer au présent un parc applicatif souvent important. Adopter de nouvelles technologies comme le cloud, les conteneurs et les microservices est facile pour de nouvelles applications, mais que faire des solutions existantes ?

Aujourd’hui, les grands éditeurs proposent leurs offres dans le cloud. Mais quid des entreprises ? Après près de quinze années de cloud public, le constat est amer : un faible pourcentage du SI des entreprises a basculé vers des infrastructures cloud. La problématique de fond de nombre de professionnels n’est pas de savoir s’ils doivent y aller, mais pourquoi et comment.

L’offre AMR – Cloud Portfolio Assessment d’IBM GBS (Global Business Services) va aider les professionnels à analyser leur portefeuille applicatif, puis à définir les cibles et trajectoires de leur migration vers le cloud. En profitant de l’occasion pour se rapprocher des métiers et mettre en œuvre de nouvelles technologies.

Analyser et planifier

Un projet AMR (Application Modernization Roadmap) peut durer entre environ 6 semaines et 3 mois, suivant l’importance de l’environnement applicatif de l’entreprise. C’est le début d’un voyage vers le cloud, le « Journey to Cloud » d’IBM, qui va comprendre quatre moments clés : conseil, construction de la solution, migration vers le cloud et mise en route de l’infrastructure.

Proposée dans la phase de conseil, la démarche AMR se compose de différentes étapes :

  1. comprendre l’existant, en relation avec les métiers et les équipes techniques ;
  2. évaluer l’existant : applications, technologies et infrastructures employées ;
  3. effectuer un bilan de ce qui existe et de ce qui sera réalisable en matière de cloud ;
  4. explorer différents scénarios comprenant des options techniques et économiques variées ;
  5. livrer la feuille de route du projet de migration, les options techniques retenues et le planning.

Le tout se fait en relation avec les métiers et selon trois prismes. Le premier est lié au modèle opérationnel visé, déterminé au travers d’ateliers menés avec la direction, qui permettront de comprendre le positionnement de l’entreprise par rapport au cloud, sa stratégie dans ce domaine, sa maturité face à ces nouvelles technologies et les contraintes éventuelles auxquelles elle doit faire face.

Seconde étape, des entretiens avec les utilisateurs ou responsables des applications, qui vont pouvoir en parler, souligner leurs points forts et leurs faiblesses et donner le détail des évolutions attendues. Il convient aussi de comprendre comment ces applications s’interfacent avec les processus et infrastructures IT de l’entreprise. Tout ceci forme le second prisme, lié aux architectures et technologies employées.

Le troisième prisme est économique et vise à confronter les bénéfices attendus aux efforts d’investissement consentis. Il s’agit ici d’évaluer les coûts de l’infrastructure IT actuelle, la capacité d’investissement de l’entreprise et les gains envisageables pour les métiers.

Savoir combiner vitesse et précision

Les conteneurs et les architectures sous la forme de microservices restent le chemin de transition privilégié. Mais il n’est pas forcément le plus rentable. De nombreuses voies intermédiaires de transition sont possibles pour les applications métiers. Les voici, de la plus simple à la plus complexe :

  • applications conservées sur site client avec ou sans modernisation (par exemple des modernisations mainframe) ;
  • décommissionnement des applications inutilisées, après étude d’impact ;
  • remplacement de certains outils par des offres SaaS équivalentes ;
  • migration directe de serveurs vers le cloud, sous la forme de machines virtuelles ;
  • migration d’une application complète au travers d’un conteneur monolithique ;
  • atomisation d’une application en microservices déployés en autant de conteneurs.

Il est difficile dans le cadre d’une prestation AMR de traiter le sujet de la migration application par application. L’offre AMR doit aider à définir une trajectoire de migration globale et le budget à y consacrer. Tout l’art consiste donc à proposer une bonne profondeur d’analyse, sans que cela se fasse au détriment du temps passé sur le projet. Une problématique adressée par une combinaison d’experts, de méthodes et d’outils.

L’une des difficultés consiste à explorer les différents scénarios possibles. L’IBM Cloud Advisory Tool (qui fait partie de la famille « IBM Garage Method for Cloud ») capitalise sur des années d’expérience dans le secteur pour proposer des arbres de décision qui vont accélérer la définition et l’étude des scénarios de modernisation des applications. Cet accélérateur de calcul des trajectoires (y compris économiques) va faciliter la prise de décision. Un outil qui s’enrichit des retours des migrations factories opérées par IBM.

IBM poursuit ses efforts en matière d’outillage, afin de proposer des solutions qui participent à réduire la durée d’un projet, tout en gagnant toujours plus en profondeur d’analyse.

Un défi métier, mais aussi technique

La migration vers le cloud est un défi métier. Avec le passage au cloud, les lignes bougent sur des sujets comme la façon de travailler, les compétences et le niveau de maturité face aux nouvelles technologies. L’entreprise devra donc s’approprier le sujet et mettre en place une conduite du changement.

Les conteneurs et les architectures en microservices restent toutefois difficiles à appréhender pour ceux manquant de maturité sur les technologies de développement agile et le monde DevOps. La mise en place d’un démonstrateur Red Hat OpenShift permettra de découvrir les avantages des conteneurs sur un cas concret, basé sur une des applications stratégiques de l’entreprise. Une offre également proposée par IBM GBS.

Faut-il mettre en place un démonstrateur OpenShift avant ou après une démarche AMR ? La logique veut que les entreprises se penchent d’abord sur l’aspect « Journey to Cloud », puis, en fonction du résultat de la prestation AMR, qu’elles évaluent un démonstrateur OpenShift afin de rentrer dans le concret. Toutefois, dans certains cas, la mise en place d’un démonstrateur peut être le point de départ d’une réflexion plus globale sur les changements à opérer au sein de l’entreprise.

 

Vous avez une question sur la modernisation de vos applications ? Contactez-nous et demandez une consultation gratuite : https://www.ibm.com/fr-fr/services/cloud/modernize-applications

IBM Distinguished Engineer

Pascal François

Executive IT Architect, IBM Consulting

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